Peu de photographes, aujourd'hui, sont aussi littéraires que ce
bordelais qui s'obstine à mettre en forme la nature en relisant
Montaigne. Et rares sont ceux qui, comme lui, s'attachent à lire dans le
paysage - qui est finalement son seul questionnement - les signes
imprévus et les marques du temps.
Sa relation à la nature ne diffère en rien de sa pratique de la photographie: elle relève de l'évidence de la trace quand la photographie est capable d'immortaliser et de rendre pérenne l'empreinte qu'à laissé le sanglier sur un talus.
Jean Luc Chapin redécouvre des territoires en se laissant guider par des écrivains ou par sa seule fantaisie, immortalise le vol d'un oiseau que le chasseur qu'il n'est pas ne va pas abattre et retourne aux livres qu'il révère
Sa relation à la nature ne diffère en rien de sa pratique de la photographie: elle relève de l'évidence de la trace quand la photographie est capable d'immortaliser et de rendre pérenne l'empreinte qu'à laissé le sanglier sur un talus.
Jean Luc Chapin redécouvre des territoires en se laissant guider par des écrivains ou par sa seule fantaisie, immortalise le vol d'un oiseau que le chasseur qu'il n'est pas ne va pas abattre et retourne aux livres qu'il révère
Dernières publications 2011:
"Chasseur cueilleur"
Texte d'Eric Audinet, éditions Confluences (prix Natura 2012)
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"Descente au paradis"
Texte de Jean Marie Laclavetine, éditions Gallimard
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